Opaline [Aristocrate]

Thème d'Opaline

Nom et Prénom :

"Je suis née Leila AMAR, mais cela fait bien des siècles qu'on ne m'appelle plus ainsi. Aujourd'hui, c'est Opaline,
mon nom de scène, qui est le plus souvent employé..."

Age :
"294 ans, bien que je n'en paraisse que vingt-cinq grand maximum."

Sexe :
"Féminin. Quoi ? Vous en doutez ? Venez vérifier !"

Race :
"Je suis une Aristo de la famille Amar."



Métier :
"Chanteuse. Je fais danser ma voix sur les rythmes lascifs de la musique soul. Autrefois j'ai été courtisane,
femme d'affaire ou encore muse de peintres célèbres, mais tout cela est révolu... Jusqu'à la prochaine fois..."

Faction :
"Tout ce qu'il y a de plus neutre. Pour moi, les humains sont des jouets, mais de là à les réduire en esclavage...
Les esclavagistes me traiteront de puritaine, et les hautes instances diront de moi que je suis une rebelle, aussi
préférai-je dire que je suis tout à fait neutre, dans cette histoire..."

Arme de prédilection :
"Mes crocs et mon charme ne suffisent pas ? Bien... Alors je dirai que j'apprécie les revolvers de calibres moyens
et de par mes origines je possède chez moi un kriss ancien, souvenir de jeunesse..."

Pouvoir :
Offerts
Transformation en papillon
Vision sanguine

Choisi
Pouvoir lié au sang
Contrôle des rêves

Point faible (malus) :
Regard sanglant
Cauchemars
Cécité Diurne.
(Total : 4 points)

Point fort (bonus) :
Enfant diurne
Aura sensuelle
Salive cicatrisante.
(Total : - 4 points)



Description Physique :
"Je passe assez inaperçue parmi les humains. Comment ? C'est bien simple, je suis de taille moyenne, de
corpulence plutôt fine et je porte des fringues à la mode. Explications.
J'ai la peau assez mate, pour une vampire. C'est simplement dû à mes origines orientales. Ma peau, bien que plus
froide que celle du commun des mortels, est douce comme la soie et a une odeur de soleil et de sable qui
rappelle la mer et le pays d'où je viens."

Elle soupire, mélancolique, puis reprend.

"Je porte les cheveux courts, non seulement parce que ça me va bien, mais aussi parce que je les ai trop porté
longs. Il était temps pour moi de changer. J'aime me maquiller, mais j'évite de le faire à outrance. Après tout, je
ne suis ni une prostituée, ni une danseuse de cabaret.
Mes yeux verts sont en amande, comme beaucoup de femmes venues d'orient, et le plus souvent fardés de noir, la
seule touche exagérée de mon look général. D'ailleurs, bien que mes yeux soient maquillés de cette manière, ma
bouche, elle, n'est que rarement peinte, le plus souvent je me contente d'une touche de gloss rosé qui illumine
mon visage fin et anguleux.
Je suis, comme je l'ai dit plus haut, assez mince, ce qui est un atout dans mon métier. Vous seriez cependant
étonné des capacités vocales d'une femme visiblement si banale... Certains critiques musicaux m'ont surnommée
"la Diva Soul", et ce n'est pas pour rien. Je suis une Diva, et je le revendique...
Ma poitrine est de taille correcte, ni trop grosse, ni trop petite, ronde et ferme à souhait. Quoi ? Je m'aime, oui,
et alors ? J'ai le ventre plat, et lorsque je le contracte on peut même voir mes abdominaux... Et oui, même les
vampires font du sport pour entretenir leur forme...
J'ai les fesses musclées, bien qu'un peu plates (personne n'est parfait !) et les jambes interminables, comparées
au reste du corps. Mes pieds ? J'en ai deux, et ils se portent très bien, merci.
Comme je disais donc, mon style vestimentaire ne sort pas particulièrement de la normale. Je porte, comme
toutes les femmes de cette époque, des jeans, des t-shirts et autres fripes mixtes, mais j'aime bien, pour mes
concerts, innover un peu. Comment ? Je mets en général mes vieilles robes des années 50. Je les adore ! Ah oui
! Je ne porte que des grandes marques ou des robes de grands couturiers. J'ai absolument horreur des fringues de supermarché..."

Description Mentale :
"Que voulez-vous savoir ? Ce qu'on dit de moi ou bien ce que je suis réellement ? Les deux ? Oh, je vois que
vous êtes des gens curieux, grand bien vous fasse...
Et bien, commençons donc par les on-dit.
On dit de moi que je suis une rebelle. Du point de vue des vampires conservateurs, bien entendu. Les
esclavagistes, eux, partiront dans le total opposé et me traiteront de puritaine. Où est le juste milieu, je vous le
demande ! Les humains comme les vampires diront que je suis mystérieuse, les mortels ajouteront que je suis si
attirante..."

Elle rit.

"On dit aussi que je suis hautaine, égocentrique, orgueilleuse et colérique. Ca fait beaucoup de péchés pour une
seule femme, non ? Enfin, j'suis habituée à ces ragots... Maintenant, à moi de vous dire qui je suis vraiment...
Je suis une femme belle, attirante, mystérieuse et pleine de sensualité. Je suis une femme du monde, et pourtant
j'ai gardé certains aspects de mon adolescence. Je suis la dualité, la perfection, une Diva... Je ne respecte que
moi-même, alors sans doute suis-je légèrement capricieuse et égoïste, oui... Mais je ne vois pas où est le
problème là dedans... Si vous ne m'aimez pas, je vous tuerai, tout simplement.
Car une chose est sûre : non seulement je suis rancunière, très très rancunière, même, mais en plus je suis
plutôt dangereuse parce que sadique et cruelle. On ne dirait pas, aux premiers abords, mais c'est parce que je
cache si bien mon jeu..."

Elle sourit.

"Wanna play with me ?"



Histoire :

L'enfance

"Je suis une Diva.
Je suis née en Orient, dans un pays chaud bordé par la mer. Mes parents étaient tous deux vampires, aussi
suis-je née dans l'Aristocratie. Mes parents étaient pleins d'amour pour moi, leur fille unique. J'ai grandi,
lentement mais sûrement, ayant reçu pour précepteurs les plus éminents professeurs de la communauté
vampirique. Mes parents n'ont pas voulu lésiner sur mon éducation, tant spirituelle que scolaire. Très jeune, j'ai
commencé à étudier les mathématiques, les sciences, l'histoire et la littérature. Mes précepteurs me disaient
bonne élève, et je pense encore aujourd'hui que c'était vrai. J'étais une élève assidue, appliquée et vraiment
intéressée par toutes ces choses que je commençais à comprendre.
Naître vampire ne signifie pas boire du sang au sein maternel. Non. Enfant, je me nourrissais d'énergie vitale, oui,
mais pas cet épais liquide rouge qui coule dans les veines des humains. Je puisais mes forces dans l'énergie
même des humains, comme tous ceux de mon âge."

La fin de l'innocence

"Ce fut à douze ans que je me nourris pour la première fois de sang. Je me souviens très bien de cette fois-là,
parce que ce fut la plus sanglante...
Nous avions déménagé pour venir vivre à Jorta, mes parents trouvant préférable de se rapprocher de la famille
royale, tant pour ma sécurité que pour la leur. Les chasseurs rôdaient partout, en quête de chair morte à rendre
à la poussière. Il était donc mieux pour nous tous de nous regrouper en un lieu commun, l'union faisant la force
de notre race.
Lorsque je ressentis pour la première fois l'appel du sang, donc, j'étais en train de jouer dans ma chambre avec
une humaine légèrement plus jeune que moi, fille de notre femme de chambre humaine. Je me souviens que nous
jouions à la poupée, à ce moment-là. J'avais de si belles poupées de porcelaine... J'en raffolais. Mais Caroline -
c'était le nom de la fillette - avait perdu la poupée que je lui avait prêté, et ça m'avait rendue folle de rage. Je
me souviens l'avoir frappée au visage, et mes ongles avaient lacéré sa joue, laissant couler quelques gouttes de
sang sur le tapis immaculé de ma chambre. L'odeur de sang se fit forte, si forte, si enivrante...
Caroline pleurait, et ses cris alertèrent mes parents, ainsi que sa propre mère. Les adultes arrivèrent dans ma
chambre en courant alors que je m'abreuvait déjà, directement à son visage, là où mes ongles avaient percé la
peau. Mes mains la maintenant aussi fermement que je le pouvais, je léchais son visage, me mettant du sang
partout avant de plonger mes crocs en elle, directement dans la joue. Les cris et les pleurs de la fillette étaient
devenus des râles de plaisir, tandis que de mon côté chaque gorgée me rapprochait un peu plus de l'extase.
C'était comme si je la dévorais vivante, bien que je me contentai de me nourrir de son sang. Je sentais sa force
la quitter pour entrer en moi, et cette soif grandissante ne prit fin qu'en même temps que la vie de l'enfant dans
mes bras. Je relevai alors le visage vers mes parents, me rendant compte alors que mon père maintenait
fermement la mère de Caroline, l'empêchant de venir me prendre son enfant. La fillette était inerte entre mes
bras, telle une poupée de chiffon. Ma mère avait cette lueur dans le regard qui signifiait toute la fierté qu'elle
éprouvait alors pour son bébé, qui venait de grandir... Mes grands yeux verts avaient perdu l'éclat de
l'innocence, je venais de commettre mon premier meurtre de sang..."

Une enfant qui grandit

"L'enfant que j'étais alors termina sa croissance, et je devins bientôt une belle jeune femme. Mes yeux verts
faisaient tourner bien des têtes, et je profitai souvent de mon physique pour aguicher mes proies. J'étais une
machine à tuer, séduisante, délicate, mais mortelle. Ma première fois vampirique avait été sanglante, mais par la
suite je parvins à me retenir, être moins goulue et plus délicate dans mes morsures. Bientôt, je me contentait de
trouver des victimes, de les attirer dans une chambre à l'étage d'une taverne ou d'un hôtel miteux pour les vider
proprement de leur sang. C'était l'extase à chaque morsure, tant pour moi que pour la pauvre âme que j'extirpais
de son carcan de chair.
Mais mon adolescence, puis ma vie de jeune adulte ne se cantonnait pas au meurtre et au sang. Je connus
l'Amour. Au sens physique, bien sûr, mais aussi ce sentiment destructeur qui me rongeait de l'intérieur. J'étais
tombée amoureuse d'un autre vampire, mais cela n'était pas réciproque. Je rongeais mon frein, patiente,
attendant qu'il se rendre compte par mes mille et une attentions que je tenais à lui, que j'aurais tout fait pour
qu'il m'accorde son amour, mais en vain. Il était tombé amoureux de cette pimbêche humaine. Alors, après avoir
pleuré toutes les larmes de mon corps des nuits durant, j'ai pris une décision : si je ne pouvais l'avoir, personne
ne l'aurait. Je les ai tués, lui et sa dulcinée, me repaissant de leur sang jusqu'à en vomir tripes et boyaux. Vingt
ans après mon premier sang, je commettais mon premier et unique meurtre passionnel."

Opaline passe une main dans ses cheveux, le teint blême, mais poursuit pourtant.

"Cette mort me hante encore, je l'avoue. Et depuis j'éprouve une haine viscérale envers les humaines trop jolies,
trop blondes, trop intelligentes, trop parfaites. D'ailleurs la grande majorité de mes proies sont des jeunes
femmes d'environ la vingtaine, blondes aux yeux bleus avec un corps à damner un saint. Elles me rappellent bien
trop Isabelle, celle qui a volé l'homme que j'aimais. C'est ridicule ? Stupide, peut-être. Oui, mais même l'âge n'a
pu me faire changer. Je suis rancunière, et je le resterai toujours."

De nos jours

"Mes parents sont morts. Tués par des chasseurs. Le dernier sang pur de la famille a été réduit en cendres par
une femme au teint blafard, une humaine que l'on surnomme La Traqueuse. Cette femme, j'ai appris à l'apprécier.
Elle traque les Dégénérés, et tue le plus de vampires qu'elle peut. Normalement, elle aurait dû être mon
ennemie, mais je lui serait toujours reconnaissante pour une chose : le dernier sang pur de ma famille exterminé,
j'ai hérité de tout. Rang, prestige, argent, tout ce qui était à la famille me revient désormais de droit, moi qui
suis maintenant la plus âgée des Amar.
J'ai dépensé une partie de ma fortune pour produire un disque, qui s'est d'ailleurs assez bien vendu. Les jeunes
de nos jours écoutent vraiment de tout et n'importe quoi. Mais ils aiment ma musique, c'est le principal. Ce que
j'ai dépensé, je le récupère aisément sur les ventes de mes disques. Je suis une idole et me sers de ma notoriété
pour attirer mes proies.
Je suis une Diva, une Diva sanglante..."



Comment trouvez vous le fofo ?
Innovant, j'adore !

Ou l'avez vous connu ?
Par Kanamé.

Alors...Quelle femme ! Les mâles n'ont qu'a bien se tenir ! Je te valide ma belle diva !