Edward Vallion [Sang Pur]

Nom et Prénom: Mes parents ont décidé de me nommer Edward.
Age: L'âge, chose surprenante pour un humain qui contemple Edward comme s'il avait vingt-cinq ans alors qu'il a bien six siècles de plus mais le jeune Ed s'en lasse et arrête de les comptait. Il est le fils ainé de sa famille.
Sexe: Si le nom ne vous le montre pas alors c'est grave, il est de sexe masculin.
Race: Edward est un vampire de sang-pur venant de la noble famille des Vallion.

Métier: Escrimeur professionnel, il effraie souvent ses adversaires avec son aura qu'il nie pourtant avec un sourire rempli de malice. Il laisse la production de vin à ses frères et sœur.
Faction: Indépendant
Arme de prédilection: Son arme préférée, celle qu'il manie mieux que les autres, il s’agit en fait d’un cimeterre, doté d’une lame de d’un mètre vingt de longueur, sur quarante centimètre de large, recourbé, fait dans le même alliage que son armure, et d’un pommeau de trente centimètre fait du même alliage lui aussi. La lame est dentelée sur toute la partie recourbée de la lame, permettant ainsi de broyer les os, aussi surement que de trancher la chair. Elle d’une couleur métallique. Il aime aussi les épées et en possède une magnifique : à la lame azurée, à la garde d’or simple, ornée de deux dragons gravés, un pommeau de bronze équilibre le tout avec grâce. L’arme à pour nom Prométhée. Parce qu’elle façonne magnifiquement la vérité des choses, et dévoile la beauté dans l’argile bien taillé.

Pouvoir:
-Charme personne
-Ordre inflexible
-Pouvoir élémentaire (électricité)
-Vol


Points faibles (malus): (5 au maximum)
-Pas de reflet
-Cauchemars
-Aura vampirique
-Repas voyant


Points forts (bonus): (autant que les points donnés par les malus)
-Beauté irréelle
-Aura sensuelle
-Charisme écrasant

Description Physique:

Edward mesure un peu plus de un mètre quatre-vingt. Pas vraiment grand comme certain vampire, mais pas petit non plu. Il est doté d’une musculature fine, allant parfaitement avec sa taille. Ses yeux sont d’un bleue limpide, tel deux saphirs, qui brillent de mille feux à la lumière du soleil. C’est un bleue assez foncé, où on peut voir une lueur malicieuse. Il a un visage fin et taillé à la serpe, aux arrêtes saillantes mais ayant tout de même une certaine grâce, une peau blanche ni pale ni bruni, et au nez aquilin et également fin. Ses pommettes sont légèrement enfoncées sans lui donner un air rachitique, et il a des lèvres fines et étirées, mais claires.L’occiput anguleux est monté sur un coup dissimulé d’un large col noir, doublé de pourpre. Qui se prolonge ensuite en une longue cape de la même couleur frappée d’un aigle gris en son milieu. Elle n’est pas déchirée à son extrémité, car bien que Edward ait remarqué qu’une cape en piteux état était caractéristique des monstres diaboliques, il n’aime pas les choses sales ou abîmées. Donc au lieu de déchirer le vêtement il l’a ourlé d’arabesques argentées enlaçant délicatement des pierres bleutées pulsant d’un éclat alternatif, et au combien attrayant


Description Mentale:(10 lignes)

Edward est fier, à la limite de l’orgueil, mais surtout très caractériel.Pour lui, la modestie est superflue, elle ne sert qu’à ce flatter intérieurement. Cependant, derrière cet air bourru et un peu supérieur qu’il se donne, Ed sait se montrer juste et sérieux selon les moments. C’est sa fierté qui lui dicte sa conduite. A l’heure d’aujourd’hui, il ne craint pas plus la mort que la faucheuse elle-même, car il est lui aussi un passeur entre le royaume du dessus, et celui du dessous, cueillant les âmes, pour les restituer au Seigneur des Enfers. Il joue avec sa vie sans vergogne, car il sait que tant qu’il n’aura pas accomplis ceux pour quoi il fait tout cela, la mort ne prendra; d'ailleurs il n'y pense pas. Il aime la bonne nourriture tout autant que la bonne compagnie, il aime les personnes qui savent ce qu'elles veulent, qui sont décidés et qui n'hésitent pas mais il déteste qu'on l'interrompe pendant qu'il pense pour rien dire, et il est très froid et dure avec ceux qu'il n'apprécie pas. Il ne se met pas facilement en colère toutefois lorsqu'il l'est Eddy est envahi par une rage froide et dévastatrice. Il ne crie pas mais ce qu'on peut lire dans ses yeux fait perdre tout envie de faire le moindre commentaire. Dans ces cas là il brûle de colère, se mettant hors du monde et n'a plus qu'un objectif, faire plier celui qui l'a provoqué devant tous.
Il n’aime pas vraiment la débauche, mais si une femme de sang pur le désire, il ne refusera jamais ou presque. Cela vaut également pour la boisson : toujours à dose régulé, comme sa propre vie, toujours régulé par sa maîtrise de soi et le fil de sa lame avec laquelle il aime bien se servir comme au temps jadis.

Histoire:

Son histoire est raconté dans des passages importants de sa vie.

A écouté avec

Histoire:

Une naissance douloureuse mais amusante

Maryline se trouvait sur un lit à baldaquin rouge comme sa robe, tout autour d'elle se trouvait des dizaines de personnes, son mari et son père ainsi que sa mère, toute la famille. Devant son visage crispée plusieurs servantes lui épongeait le front, l'incitant à poussé plus fort. Lorseau, son mari regardait sa femme avec satisfaction, elle était entrain de lui donner un enfant vampire, premier de la troisième génération de la noble famille des Vallion ! Le patriarche de la famille, soit le père de Maryline et de Lorseau souriait lui aussi, se rappelant ce que devait sentir son fils quand sa femme à lui, lui donna sa première fille. Oui, Maryline et Lorseau était frère et soeur, chose du tout pas étonnante chez les Vampires.
La belle Maryline, poussa soudain un dernier cri avant que la tête du petit vampire ne sorte ! Une servante le prit et le tendit à sa mère tandis que les servantes voguaient à leur occupation sur la vampiresse. Lorseau se baissa vers sa femme et l'embrassa sur le front avant de se lever et de clamait haut et fort.

- Il s'appellera Edward, Edward comme notre arrière-arrière grand père, patriarche avant mon père.

La famille applaudit après que la voix de Lorseau eut résonné dans la salle, le petit vampire lui pleurait sur l'épaule de sa mère. Chaque membre de la famille vint féliciter la nouvelle mère, celle-ci remercia tout le monde avec un sourire.On mit le bébé dans son berceau, on évacua la salle dès que le patriarche de la famille eut donné sa bénédiction. Maryline avait besoin de se reposer, et les servantes présentent devaient l'aidait à se remettre à l'aise. Mais alors que tous le monde fût sortit, une servante sortit une arme à feu, vendu par un chasseur et tira sur Maryline les yeux grand ouvert ! Celle-ci cria et Lorseau rentra en trombe dans la pièce, le temps nécessaire s'écoula la servante ! A ce moment là, les yeux de Lorseau se crispèrent avant de gifler la servante humaine qui alla percuter le mur d'un côté, il était en rage. La jeune servante mourut lorsque sa tête toucha le mur, ayant succombé au choc. Pendant se temps, le bébé vampire lui était tombé du lit sur un coussin et roula en dessous du lit, alors que Lorseau pleurait sa défunt épouse. La famille Vallion déjà peu nombreuse venait de perdre par mégarde une de ces filles ! Le réjouissement se transforma en deuil, en parlant de se réjouir ? Ou était passé l'enfant ? Lorseau arrêta de sanglotait et regarda tour à tour les meubles et les lit. Edward était sous le lit entrain de rire devant un petit insecte, son père l'attrapa par la taille et le remit dans un berceau avec barreau, pour pas qu'il retombe. Il appela ensuite, une de ces soeurs qui devait s'occuper du vampire, pendant que Lorseau alla annoncer la mauvaise nouvelle.



Le jeune Edward venait tout juste de fêter ses dix ans, ses dents n'était pas encore pointu et l'appel du sang ne c'était pas fait encore ressentit. Le jeune Eddy se trouvait dans une salle du manoir, assis à une table stylo bic à la main entrain d'écrire des mots qu'il avait appris la veille. Son professeur Mme Hasnaoui, se tenait devant lui, une baguette à la main. Elle souriait, montrant ses canines pointu à son élève. C'était une aristocrate. Et elle était chargé de l'instruction particulière du fils ainé de la 3eme génération des Vallion. Elle lui apprenait à lire et à écrire, à chanter et à danser et aussi plusieurs autres matières élémentaire, et elle était payé largement par les Vallion. Elle fût l'institutrice du jeune Edward pendant un demi-siècle, lui apprennent tout. Dame Hasnaoui arrêta d'enseigner lorsque Edward l'a battit à l'escrime car même si à l'époque les femmes savant manier l'épée étaient très peu, et celle qui le savaient était très doué. Edward avait alors cinquante ans et venait de finir ses études, tout juste.

Cours d'escrime à deux mains par Mr Bilban.

Edward se pressa de rentrer dans la salle de classe du maitre d'arme Bilban, il s'assit sur un coussin épée près de lui et écouta.

- Avant de parler de la tenue de l'arme, il nous faut aborder les différentes parties de l'arme et de leurs utilités.
L'épée comprend : le pommeau, la fusée ou la poignée, la garde et ses quillons et la lame. L'extrémité de la lame est appelée la pointe.La lame se divise en trois parties sensiblement égales.
Près de la garde, le premier tiers est appelé le fort. C'est avec cette partie que les parades sont réalisées.
A l'opposée, se trouve la partie appelée le faible avec laquelle sont les coups de taille sont donnés. Ici, il faut distinguer les coups réalisés avec le tranchant inférieur dénomé vrai tranchant, ou le tranchant supérieur dénomé le faux tranchant ou contre tranchant.
Enfin, le tiers du milieu appellé le moyen, il est utilisé pour les actions au fer.

Tout le monde poussa un soupire, près à subir un cours théorique.

- Dans les coups de contre taille, il est parfois nécessaire de mettre le pouce de la main droite sur le plat de la lame. Ceci permet la présentation du contre tranchant et son utilisation.
En ce qui concerne les parades, la tenue de l'arme permet de résoudre la polémique entre la parade du plat et la parade du tranchant.
La parade doit être réalisée par l'opposition du pouce qui bio-mécaniquement est la seule position de la main qui donne de l'efficacité au mouvement.
Parer avec le tranchant entraîne une détérioration du fil de la lame ce qui nécessite que la parade soit réalisée avec le plat de la lame et avec son fort.
Ainsi, lors d'une parade, l'épée est tenue le pouce sur le plat de la lame. Au cas où le pouce ne serait pas sur le plat, c'est le tranchant qui se présente à la lame de l'adversaire....
La tenue d'épée à une main reste très occasionnelle et sera utilisée pour permettre un saisissement de l'arme adverse ou un désarmement ou encore une technique de corps à corps. Afin d'offrir la meilleure résistance avec la lame, le pouce est appuyé sur la poignée en opposition au coup porté sur la lame par l'adversaire.
"Passons aux attaques. Un combat qui ne serait constitué que d'attaques simples, est très risqué quant à son issue, même pour le plus expérimenté des combattants. En effet, les attaques simples demandent rapidité et précision dans leurs exécutions. Elles doivent être menées au moment le plus décisif, ce qui nécessite une grande préparation ou un adversaire peu doué et elles représentent toujours un risque. Dans un combat, il est nécessaire d'étudier le jeu de votre adversaire, de tester ses intentions et de cacher nos propres intentions ; pour cela, nous utiliserons des feintes qui sont des fausses attaques simples qui auront pour but de répondre à nos interrogations et de préparer notre attaque finale en faisant réagir l'adversaire, ce qui nous permettra d'exploiter à notre avantage sa réaction.
Seulement, exécuter une fausse attaque est difficile car celle-ci doit apparaître comme l'attaque pour l'adversaire, faute de quoi notre action ne serait qu'un coup d'épée dans l'eau. Mais sans pour autant trop s'engager, car cela pourrait donner l'avantage à l'adversaire.

J'ai parler, parler et j'ai pas vu l'heure passé, au revoir mes petits !"

Ce soir là, Edward ne dormit pas il passa celle-ci à s'entrainer pour pouvoir être tout puissant en escrime un jour, une nouvelle ambition s'était gravé dans son esprit ! [...]

L'Appel du sang se fait sentir plus fort

Edward est à présent grand, il a évidemment déjà gouté au sang humain cuit au micro-onde ou dans une casserole celon les époques ainsi qu'a du sang de vampire, venant d'une autre famille princière lors d'une de ces nuits toride passé avec une jeune vampiresse dont il avait oublié le nom au fil des siècles. Ce jour là, Edward marchait dans l'une des nombreuse rues de Bellsing, ses yeux étaient devenu rouge et il n'avait croisé la route à personne, ni animal ni humain ! Soudain, un bruit, un jeune qui tapait dans des boites de cannettes vide. Le vampire se faufila vers lui mais l'humain le sentit, à cause de son aura. L'humain, recula jusqu'au mur alors que Edward lui, s'avançait tel une ombre grandissante ! De la sueur se vit autour du visage du jeune homme, il avait peur et Edward le savait. Il sourit, dévoilant ses canines pointu, l'humain cria et le vampire se jeta sur lui. Une seule morsure eut raison de l'humain mais une longue ! Le jeune Ed' but le sang en entier mais il avait un fâcheux défaut, son repas était voyant. Du sang recouvra le mur ainsi que le sol alors que les yeux de l'humain était figé dans une crispation et sa bouche formait une moue, il était pâle vidé de son sang. Edward lâcha enfin le cou de sa victime satisfait, dès lors, elle tomba dans un bruit mat et la tête eut une vilaine fracture mais l'humain n'en avait plus à se soucier, il était mort. Avec horreur, il eut un geste de recul ne croyant pas ce qu'il venait de faire, il avait tué un humain ! Un autre geste de recul avant de s'élancer vers la ruelle, essuyant le sang et disparaissant de la circulation humaine pendant un bout de temps, il avait aimé pourtant.

En Russie, sous une campagne de Bonaparte

Lors de la désastreuse Retraite de Russie, un jeune soldat s'est égaré, ce soldat qui s'était engagé n'est autre que le jeune vampire Edward, fier de combattre avec les troupes de Napoléon Bonaparte, mais là, il était fût obligé de se retirer
Voila bien longtemps qu'Edward se trouvait en tête à tête avec son lieutenant. Peut-être deux heures ou deux jours... allez savoir... Le temps n'avait plus vraiment d'importance... Car qui peut être plus silencieux et paisible qu'un mort ? Et ces ruines couvertes de neige, qui l'encerclaient, évoquaient à la perfection un cimetière.
Le cadavre de son lieutenant reposait contre un mur et semblait dormir. Une simple ligne rouge autour de son cou indiquait qu'une lame avait coupé net sa gorge. Edward avait travaillé comme apprenti dans une boucherie. Il y avait tranché assez de gorges de cochons pour être capable d'admirer, en connaisseur, le travail de l'inconnu qui, en six jours, avait réduit son contingent de quinze hommes à deux survivants.
Edward avait bien tenté de garder éveillé son lieutenant, mais il avait dû lui-même lutter contre trop d'ennemis. Le froid d'abord, un froid inhumain qui attaque jusqu'aux poumons, la faim qui lui aurait fait dévorer son cheval mort, si sa viande n'avait pas gelé.
... Et le sommeil l'avait pris.
Au réveil, il avait trouvé son lieutenant sagement appuyé contre un mur et aussi mort que son cheval.
Il se demandait pourquoi il avait été laissé vivant. Son ennemi était un chasseur et avait tout son temps.
Des années de formation militaire et de campagnes de guerre l'avaient préparé aux batailles rangées. Depuis son premier enrôlement au service de l'empereur, tous les ennemis qu'il avait affronté avançaient en rangs serrés. Mais depuis le jour funeste où la "Grande Armée" et son empereur avaient pénétré sur le sol Russe, il n'avait jamais vu le visage d'un ennemi.
L'armée avait pourchassé des fantômes durant de longs mois. Des plaines boueuses, à la poursuite de combattants fantômatiques, jusqu'aux rues désertées de Moscou, où ils avaient espéré trouver un asile pour l'hiver.
Mais une série de sabotages provoqua l'incendie de la ville. Moscou, transformée en enfer, poussa l'empereur et son armée sur les routes du retour.
Et l'hiver Russe réussit ce qu'aucune armée d'Europe n'était parvenue à faire : chasser l'Empereur et dévorer son armée.

Edward n'était pas loin de penser qu'il demeurait le dernier représentant de cette glorieuse expédition. Et là, au milieu de nulle part, il allait disparaitre de la main d'une ombre...

Mais, la vie est têtue, et Edward aussi. Il se disait qu'à présent, il n'était plus d'aucune armée, d'aucun pays, et que depuis longtemps, son empereur avait rejoint des terres plus hospitalières. Il se sentait délié de tout serment d'allégeance à cet homme qui les avait conduits en enfer.

Il avait eu tout le temps de réfléchir et en était arrivé à la conclusion que son ennemi était seul, qu'il n'était pas un démon et qu'il pouvait encore l'avoir. Il devait simplement tenir sans dormir le plus longtemps possible. Il avait choisi un mur assez haut pour s'appuyer et ainsi éviter les attaques par derrière. Il ne cherchait pas à se cacher, il était persuadé que c'était inutile. Il avait préparé de quoi alimenter un feu dès la tombée de la nuit. Il était persuadé que son inconnu n'avait pas d'arme à feu et pour l'atteindre, serait obligé d'aller droit sur lui.

Il avait préservé de l'humidité une petite quantité de poudre. Assez pour un seul coup, ce qui ne lui donnait le droit à aucune faute. Après avoir allumé son feu, il s'accroupit face à la forêt et attendit, son arme cachée dans les replis d'une misérable couverture. Il baissa la tête, pour paraître endormi et espérait tenir.

L'obscurité était tombée et son feu commençait à décliner, quand il crut percevoir un frémissement différent de la brise qui soufflait. Au bout de quelques secondes, plus de doute, son ennemi approchait. Le peu d'air qu'il déplaçait suffit à rabattre quelques flammes vers Edward. Et ce fut comme un signal ; son bras, caché sous la couverture, se détendit et le canon de l'arme se trouva braqué droit sur un visage aussi blanc que la neige. Pendant un bref instant, Edward crut aux fantômes. Le temps semblait s'être arrêté, et Edward ne parvenait pas à se résoudre à détruire ce visage.

La créature, face à lui, le fixait de ses yeux verts et semblait attendre sans crainte. Une brusque colère fit monter une bouffée de chaleur au cerveau du jeune homme, il retourna brusquement l'arme et par la crosse, frappa de tout de toutes ses forces le petit visage, ne serait-ce que pour effacer la sérénité qu'il y voyait. Edward tenta de respirer à nouveau normalement, il se pencha vers le petit corps, le souleva légèrement pour observer le visage. Un filet de sang, au coin de la tempe, trahissait le coup porté. En écartant des mèches de cheveux noirs, il découvrit le visage d'une adolescente de quinze ans, peut-être. Le jeune vampire poussa un soupire, il n'aimait vraiment pas les armes à feu et continuait de préféré ses vieilles épées. Il se pencha vers l'adolescente et lécha son sang avant de la mordre au cou, la vidant petit à petit de son sang, jusqu'à que la couleur de la neige contraste effrayement avec tout son corps, sans plus de procès, il laissa choir le corps inerte et alla vers son couchage s'endormir. La route de demain sera longue, Edward en avait conscience.

Son premier rapprochement humain sous un autre nom

La cloche sonna au lycée juif. Après quelques instants, une centaine d’élèves franchit les grilles. Aucun d’entre eux ne s’attarda. Ils étaient pourtant comme les autres, mais une étoile jaune à six branches cousue en évidence sur le dessus de leurs vêtements les faisaient apparaître comme une ethnie à part et indésirable de la société.

Une jeune fille d’environs quinze ans, aux longs cheveux bruns, presque noirs et aux yeux verts prit le trottoir gauche de la rue pour longer le parc et se hâta de quitter la rue. Elle était simplement vêtue d’une longue jupe vert-clair et d’un chemisier blanc, entre-ouvert dans le haut par dessus lequel elle avait passé une veste noire dont les trois derniers boutons étaient fermés. L’étoile jaune cousue juste en dessous de la poche sur le tissu noir, à gauche, attirait l’attention des passants qui se retournaient pour la regarder et même la pointer du doigt.

D’une main, la jeune fille essuya ses yeux humides et de l’autre, elle remonta un sac bleu, qu’elle portait en bandoulière sur son épaule et qui lui servait à mettre ses cours.

Elle tourna l’angle de la rue pour rejoindre la Grande Avenue, disparaissant ainsi aux yeux des derniers élèves.

Elle marchait sur le trottoir, les yeux rivés sur le pavé, si bien qu’elle ne vit pas deux officiers vêtus d’un uniforme vert-kaki, arriver en face d’elle. Ces derniers l’attrapèrent par le bras pour l’obliger à s’arrêter.

- Tu ne nous as pas salués, Dreks-Jüdin ! S’exclama le plus grand des deux, qui se voulait intimidant, de plus, les gens de ta race ne peuvent pas marcher sur le trottoir !

La jeune fille fit un bref signe de tête, la peur au ventre.

- Deinem Ausweis ! Schnell ! S’écria le deuxième officier.

Par des gestes maladroits à cause de ses mains tremblantes, elle ouvrit son sac et en sortit une carte jaune comportant un grand « J » noir sur le devant.

L’Allemand qui tenait la carte d’identité murmura le nom de la jeune fille puis leva les yeux vers elle et lança :

- Deine große Schwester hat sich nicht zur Überwachung vorstolen !

Puis voyant qu’elle ne semblait pas comprendre, il hurla :

-Ta grande sœur ne s’est pas présentée au contrôle !

La jeune fille ne répondit rien, puis voyant qu’elle n’osait plus faire un mouvement, l’officier lui jeta sa carte d’identité à la figure, qu’elle attrapa et remit fébrilement dans son sac. Elle reprit sa route, puis s’apercevant que les deux allemands ne la quittaient pas des yeux, elle descendit dans le caniveau pour marcher.

Tandis qu’elle s’éloignait, les officiers discutaient en langue allemande et l’injuriaient certainement, mais la jeune fille ne cherchait pas à comprendre ; Elle détestait cette langue et qu’importe ce qu’ils pensaient d’elle.

Après avoir parcourut quelques mètres, le temps que les Allemands tournent le coin de la rue, elle releva la tête pour voir qui étaient encore les curieux imbéciles qui l’observaient et fut surprise de constater que l’Avenue était quasiment déserte. Une ou deux voitures passaient de temps en temps. Mais la consternation atteignit son comble lorsqu’elle reconnut Edward sous le nom de Louis sur le trottoir d’en face, quelques mètres plus haut.

Louis était bien bâti, plutôt svelte et assez mignon. La jeune fille le connaissait un peu : Au tout début de l’année scolaire, elle avait fréquenté le même lycée que le jeune homme : Le lycée privé. Elle lui avait parlé plusieurs, fois et ils s’entendaient plutôt bien. Mais à cause des lois anti-juives et de l’arrivée des Allemands, la jeune fille avait été contrainte de s’inscrire au lycée juif, deux rues plus loin. Depuis, elle n’avait plus revu Louis, ni aucun de ses anciens amis. [ Il fallait préciser que parfois Edward s'ennuyait de sa vie et aimait voir comment sont les écoles étrangères ]

Elle se doutait aussi que les parents préféraient que leurs enfants évitassent de fréquenter des juifs – entre autres, les parents de Louis, qui adulaient les Allemands, empêchaient carrément leur fils de sortir et d’avoir des contacts avec le monde extérieur.

La jeune fille se ressaisit, baissa la tête et continua sa route. Elle sentit son cœur battre la chamade lorsqu’elle entendit Louis crier :

-Tarja ! Attend !

A contre cœur, elle hâta le pas, mais le jeune homme l’avait déjà rattrapée. Il se mit en face d’elle et posa ses mains sur ses épaules. Il murmura :

- Tarja… Je ne savais pas… Je suis désolé…

- Tu ne pourras rien changer… Répliqua t’elle, la voix rauque et tremblante.

Elle essuya de nouvelles larmes qui avaient coulé le long de ses joues. Louis, qui cherchait son regard, lui prit le menton pour l’obliger à relever la tête et demanda :

- Je sais que ce n’est pas toujours facile pour toi… Tu ne vas vraiment pas bien, qu’est ce qui se passe ?

Tarja hésita puis répondit :

- Ma grande sœur et mon père ont reçu une convocation et ils devaient se présenter aujourd’hui… Apparemment, ils ne sont pas venus et je ne sais pas ce qu’ils ont fait… De plus, le commerce de mon père ne marche plus du tout à cause des boycotts allemands… Nous n’avons plus d’argent, nous avons même commencé à vendre des meubles…

- Oh ! Tarja ! Je suis désolé ! S’exclama le jeune homme, en la serrant contre lui.

La jeune fille se refusa de pleurer mais ne put s’empêcher de laisser entendre sa détresse. :

- Chaque jour nous craignons davantage : Nous ne savons pas si nous verront de nouveau le jour quand nous allons nous coucher le soir, la peur des camps, des ghettos, de la Mort nous hante… Nous ne savons même pas ce que nos allons devenir…

- Si tu as besoin d’aide, je t’aiderai, murmura Louis, profondément bouleversé, je ferais n’importe quoi…

-Je pense que c’est mieux pour toi de m’oublier, répliqua Tarja, dont les mots provoquèrent de nouveaux sanglots, tu n’auras que plus d’ennuis en m’aidant…

- Saches seulement que je suis là…

Ils se regardèrent longuement et sursautèrent lorsque, de nouveau, des officiers allemands, ils étaient trois, apparurent. Tarja s’écarta vivement de Louis et reprit sa route. Elle se figea quand l’une des Allemands, le plus petit des trois, lui demanda ses papier. Toujours en tremblant, elle les sortit de son sac et les donna à l’homme, sous les yeux de Louis.

-Tarja Weiss… Née le vingt-neuf Décembre mille neuf cent vingt six… C’est cela ? demanda le deuxième officier.

Elle acquiesça. Le troisième officier l’observa, un sourcil levé, puis il lança, en lui rendant sa carte d’identité :

-Cours pendant que tes jambes le peuvent encore !

La jeune fille prit la carte et sans un regard pour Louis fit volt-face et se mit à marcher rapidement.
Le jeune homme la regarda s’éloigner, en se remémorant ce qu’elle lui avait dit et ce qu’il venait d’entendre. Quelque mois plus tard, il apprit la mort de son amie, il hurla de rage et quitta définitevement l'Allemagne. Il garde toujours un mauvais souvenir de se pays

Epilogue

Nous sommes à présent en 2008, Edward n'a que six cent quatre-vint cinq ans. Devenu un maitre en matière d'escrime, il remporta quelque compétition d'escrime chez les vampires, battant les deux vampires de famille sang pur qui n'arrêtaient pas de le battre les siècles derniers. Ces deux soirs là, le vin avait coulé dans la demeure des Vallion à Jorta, où réside Edward lorsqu'il n'ai pas en voyage professionnel. Pendant toutes ces années, il avait suivit les grands événements mondiaux, et se demande d'ailleurs par quelle chance les Amériques ont gagné la guerre face aux Anglais qui avaient un avantage numérique, d'ailleurs il avait combattu avec les anglais. Et quel progrès la terre eut connu ! Si il n'y avait pas eu cette bombe à Hiroshima, Eddy aurait aimé y faire un petit tour à cette époque là. Puis la deuxième guerre mondiale, ces jours là, il avait eu le sang qu'il voulait sans aller dans des hôpitaux !
La famille Vallion cherche une épouse de taille à leur fils, pendant que Ed lui, cherche de son côté n'ayant pas confiance dans les goûts de ses pères. Il passa quelque nuits par là avec des vampiresse, mais aucune le lui plut vraiment. Il cherche toujours à présent, même si cela ne se voit pas, sortant plus dans la capitale vampiresque.
A présent, vous connaissez tout ce qu'il faut savoir à propos du ténébreux Ed'.

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Comment trouvez vous le fofo ? L'idée est originale, j'adore !
Ou l'avez vous connu ? En voguant de forum en forum ^^

Hop, hop, hop !


Alors, premier point, il faut te relire, je le crains, tu m'écris des "Deux" au lieu de "dents" xD

Ensuite, ta liste de pouvoir n'est pas bonne, je te conseille de relire le topic a ce sujet ^^

Voilà, fini

Bon, maintenant on va passer a l'histoire ^^

J'éditerais lorsque je l'aurais finie ^^

Bon, premier point, ta mère ne peut pas mourir comme ça. Il n'y a pas trente six façon de tuer un Sang pur, soit l'exploser en tout pitit morceaux, sois le toucher au coeur avec une arme anti vampire^^ Une simple aiguille ne lui fera rien xD

Ensuite, tu as dût t'emmêler les pinceaux dans tes histoires de guerre historique, je ne vois pas le rapport entre la guerre d'indépendance américaine et la bombe atomique

Tu as mis l'accent sur l'époque médiévale, mais ton vampire est agé, ta fiche pas assez étoffée pour un vampire de cet âge ^^ De plus, j'espère pour toi que tu ne te trimballe pas en armure tout le temps, parce que tu sera vite la risée des Sang Pur xD

La cohérence n'est pas là, tu peux m'expliquer comment tu deviens champion olympique alors que, vu tes dons, tu ne peux pas sortir la journée vu que tu dors ? O_o

Il y a plein de fautes d'inattentions aussi.

Voilà et encore, je n'ai pas décortiqué a fond ta fiche xD

Une grosse aiguille qui déchire le cœur ce n'est pas assez ? O_o

Citation :

Pendant toutes ces années, il avait suivit les grands événements mondiaux, et se demande d'ailleurs par quelle chance les Amériques ont gagné la guerre face aux Anglais qui avaient un avantage numérique, d'ailleurs il avait combattu avec les anglais. Et quel progrès la terre eut connu ! Si il n'y avait pas eu cette bombe à Hiroshima, Eddy aurait aimé y faire un petit tour à cette époque là. Puis la deuxième guerre mondiale, ces jours là, il avait eu le sang qu'il voulait sans aller dans des hôpitaux !

Je les sépare par un point, et je dis simplement que j'aurais aimé aller visiter Hiroshima, je fais simplement relaté ^^

Il est passé par l'époque médiéval et lui aussi a eu des veuves a sauvé ^^. Je me trimballe pas en armure, sinon je n'aurai pas cette musculature fine. Pour l'époque médiéval, j'insiste juste sur mes cours d'escrime, car même étant un sang pur ayant l'immortalité, Edward s'ennuient

Vice-champion olympique. Puis, les combats se font dans des arènes et vu avec mon aura vampirique, cela trompe mes adversaire qui ont peur et n'ayant aucune preuve les arbitres peuvent pas me disqualifier. Mes victoires réside essentiellement sur la peur.

Je me relirais tout à l'heure

Tu NE peux pas agir de jour xD Donc, tes combats dans l'arène, say mort xD


Et non, une aiguille c'est pas assez ^^

Etoffe ta bio, pour moi, ce n'est pas suffisant ^^ AJoute des épisodes, je sais pas, il y a plein de choses a dire lorsqu'on a 6 siècles ^^

J'ai mis un pieux au cœur cette fois-ci. Même si les vampires n'ont plus peur des pieux, un dans le coeur peut tout de même tué

Sinon pour la bio c'est fait, j'ai rajouté deux épisodes un en Russie et l'autre en Allemagne.

et non... ça tue pas un sang pure. on t'as dit les deux seuls moyen de tuer un sang pur... Emploser le corps en appéricube ou une arme de chasseur de vampire (c'est a dire ensorcelée par leurs magie et annulant la capacitée qu'on les sangs purs a se régénérer instantanément).

donc si tu veux que ta maman meurt aussi facilement fait un vampire basic, ou encore peut etre une aristo un peu faiblarde... ^^ mais pas une sang pur.

Et que sont les différentes arme de chasseur de vampire ?

Parce ce que au fur et à mesure de mes rp, mon petit vampire va vouloir connaitre plus sur sa mère et c'est important qu'elle meurt assassiné par une servante.

hum... les armes sont de toute sorte, mais souvent, arme a feu ou arme blanche.

Gun, uzi, fusil a pome ou encore katana, rapière etc...

sachant qu'une servante avec ça... oO elle est difficilement pas grillable.

a moins que tu fasse assassiner ta mère un peu plus tard, quand tous parte pour laisser la mère et l'enfant se reposer?

Voilà, fiche fini j'espère que cette fois-ci tout est bon ?

Bon, tu as fais des efforts, mais c'est trop juste pour un Patriarche, aussi, je te valide en tant que Sang Pur de la famille Vallion mais pas son patriarche ^^